12 juillet

Livre des Psaumes - Chapitre 101, verset 1 jusqu'au chapitre 105, verset 45.

Pour lire la bible, version Segond 21 : http://www.universdelabible.net/lire-la-segond-21-en-ligne

Le Seigneur me délivrera de toute œuvre mauvaise et me sauvera pour me faire entrer dans son royaume céleste. À lui soit la gloire aux siècles des siècles! Amen !

2^ème épître à Timothée - Chapitre 4 - Verset 18

Cette cité là du grand Roi est un lieu de service actif. Les esprits des rachetés le servent jour et nuit dans son temple. Jamais ils ne cessent d’accomplir le bon plaisir de leur roi. Ils trouvent toujours le repos, aussi longtemps que la tranquillité et la liberté ne sont pas prisonnières du souci, de l’inquiétude ; et jamais ne goûtent le repos au sein de l’indolence ou de l’inactivité. La Jérusalem d’or est le lieu de communion avec tout le peuple de Dieu. Nous serons assis avec Abraham, Isaac, et Jacob, dans une éternelle compagnie et communion. Nous entretiendrons de hautes conversations avec la noble armée de l’élu, tous régnant avec celui qui, par son amour et son puissant bras, les a emmenés sains et sauf à la maison. Nous ne chanterons pas en solo, mais en chœur nous louerons notre Roi. Le Ciel est un lieu de victoire achevée, à chaque fois, chrétien, que tu as remporté la victoire sur tes convoitises, à chaque fois après un dur combat que tu as déposé une tentation morte à tes pieds, tu as en cette heure goûté par avance la joie qui t’est réservée quand le Seigneur bientôt foulera Satan sous tes pieds et tu te reconnaîtras toi-même plus que vainqueur par celui qui t’a aimé. Le Paradis est le lieu de la sécurité quand tu te réjouis d’une complète assurance dans la foi. Tu as déjà le gage de cette glorieuse sécurité qui sera tienne quand tu seras un parfait citoyen de la Jérusalem Céleste, Ô ma douce maison, Jérusalem, doux havre de grâce de mon âme ! Merci, déjà maintenant, mais des actions de grâce plus abondantes dans l’éternité, quand je te posséderai. 

Mon âme a goûté de ces raisins,
Et maintenant elle languit d’aller,
Où mon cher Seigneur garde sa vigne
Et où tous les bouquets poussent. 

Du vin vivant et vrai,
Mon âme assoiffée veut se désaltérer,
Au banquet éternel où je suis invité
Je veux me rassasier du fruit divin.

 α - ω